Historiques, aquatiques, botaniques, potagers… Petit tour d’horizon de mes jardins préférés, dans les Yvelines, de belles ballades en perspective.
ARBORETUM DE CHÈVRELOUP (Rocquencourt)
Véritable musée de l’arbre, l’Arboretum de Chèvreloup rassemble sur 205 hectares plus de 2500 espèces et variétés d’arbres des régions tempérées et froides de l’hémisphère Nord : Himalaya, Caucase, Chine, Japon, Amérique du Nord, Europe… Situé sur la partie nord du Domaine de Versailles, il est géré par le Muséum national d’Histoire naturelle dont il constitue la collection d’arbres. L’Arboretum offre au public une promenade à la découverte des arbres dans un environnement exceptionnel. Les arbres sont ici laissés dans leur port naturel et les interventions se limitent au strict nécessaire. L’Arboretum est aussi une zone naturelle protégée dans la plaine de Versailles. La plus grande partie de l’Arboretum n’est fauchée que deux fois par an. Cet entretien doux permet à 300 espèces herbacées d’ y pousser spontanément. Certaines sont rares dans la région. De nombreux oiseaux y sont également visibles.
DOMAINE NATIONAL DE MARLY-LE-ROI (Louveciennes)
C’est à la fois un lieu de fête, de visite, un rendez-vous pour les promeneurs, un terrain de sport et de jeux. Mais son charme réside surtout dans le côté étrange et mystérieux qu’il dégage ; la perspective de ses allées, les vestiges d’anciens bâtiments, l’éparpillement des statues, tout témoigne ici d’une grande absence. L’absence, bien sûr, de ce château et de ses pavillons, de ces jardins et bosquets, de ces bassins et fontaines… Il suffira pourtant de saisir le murmure de l’eau, encore présente dans quelques bassins, pour se prêter à imaginer la splendeur passée de ce parc aux allures royales. Ne pas manquer : l’abreuvoir orné des célèbres Chevaux de Marly, la place des Coureurs, le socle de l’ancien château.
https://www.marlyleroi.fr/Domaine-de-Marly/75/
DOMAINE NATIONAL DE RAMBOUILLET (Rambouillet)
En vous rendant au château de Rambouillet, ne manquez pas de découvrir ses étonnants jardins à la française et à l’anglaise. Des jardins pittoresques et bucoliques en perspective ! De belles promenades vous attendent dans le Domaine National de Rambouillet. Au programme : rivière, fabriques, faune sauvage, chaumière aux coquillages ou encore la Laiterie de la Reine.
http://www.chateau-rambouillet.fr
DOMAINE NATIONAL DE SAINT GERMAIN-EN-LAYE (Saint Germain-en-Laye)
Profitez d’une vue panoramique étonnante sur l’ensemble de l’Ouest parisien en vous rendant sur la Terrasse du Domaine National de Saint-Germain-en-Laye. L’occasion également d’en savoir plus sur la création des jardins du château par le paysagiste Le Nôtre. De belles promenades au cœur d’un écrin de verdure vous attendent.
http://musee-archeologienationale.fr/chateau-jardins/le-domaine-national
DOMAINE NATIONAL DE VERSAILLES (Versailles)
En 1661, le roi Louis XIV charge André le Nôtre de la création et l’aménagement des jardins du château de Versailles. Une œuvre gigantesque et fascinante à la fois ! En effet, il n’existait alors que des prairies, bois et marécages à cet endroit. Dans les jardins, en passant par les degrés du bassin de Latone, la majestueuse perspective du miroir d’eau conduit jusqu’au char d’Apollon. Ensuite il faut se perde dans le labyrinthe végétal pour mieux découvrir, au détour d’une allée, de nouvelles fontaines ou un des nombreux bosquets. Parmi ces créations on peut citer la salle de Bal et ses rocailles. A la tête du Grand Canal, pièce d’eau de 23 hectares et 5,5 km de périphérie érigée en 11 ans, les bâtiments de la Petite Venise rappellent les gondoliers et gondoles, qui constituent la flottille et servaient pour les promenades, les concerts ou les fêtes nautiques. De chaque côté du Grand Canal se trouvent des parcelles boisées sillonnées de grandes allées. Le jardin s’ordonne à partir d’un axe principal avec des axes secondaires, des allées en étoile, des bassins. Une véritable architecture végétale ! Ne manquez pas d’admirer les différents parterres bordés de buis et de fleurs mais aussi de statues et fontaines.
http://www.chateauversailles.fr/
MUSÉE NATIONAL DE PORT-ROYAL-DES-CHAMPS (Magny-les-Hameaux)
En 1999 une opération d’envergure menée par le Ministère de la Culture, avec l’aide de mécénats d’entreprises, a toutefois permis de reconstituer le verger historique des Granges dans sa forme du XVIIème siècle. Ce dernier est actuellement entretenu par les bénévoles de l’association des Amis du Dehors, en lien avec les réseaux référents des Croqueurs de Pommes et du Potager du Roi à Versailles.
Un ensemble de jardins pédagogiques et d’évocation, dits « Jardins d’Utilités », a également été crée depuis 2001 dans l’arrière cour de ferme, en lien avec des acteurs locaux du monde associatif, des réseaux éducatifs et médicaux (MGEN – Institut national Marcel Rivière). D’autres jardins évoquant la tradition médicinale ont également été recréés depuis 2010 sur le site de l’abbaye par des associations partenaires du musée : Les Amis de Port-Royal des Champs, l’association pour le Rayonnement Culturel de Port-Royal (APRC), et le CentreAthena.
L’expérience horticole constitue donc encore de nos jours une des composantes importantes de la vie et de l’activité du lieu : un moyen simple d’approcher la richesse exceptionnelle du patrimoine de Port-Royal par « la porte du jardin ».
https://www.port-royal-des-champs.eu/
JARDIN CHINOIS DE YILI (Saint Rémy l’Honoré)
Le jardin Yili est un jardin traditionnel chinois, le premier en France. Il a été réalisé dans le cadre de l’année croisée France/Chine. La contribution du Service des Espaces verts de la ville de Suzhou, Venise d’extrême-orient chargée de ses 2 500 ans d’histoire, aux 9 jardins classés patrimoine mondial, a permis la réussite de ce projet. Le jardin Yili vous permet de découvrir un jardin traditionnel chinois ainsi que l’art des bonsaïs.
JARDIN DES AUBEPINES (Aufargis)
Ce jardin à l’anglaise de 3000m² situé au coeur du PNR de la vallée de Chevreuse avec des ambiances différentes et multiples assure une floraison pendant les quatre saisons. Il accueille notamment différents arbres et arbustes de collections et à écorces décoratives, érables japonais, rosiers anciens, rhododendrons, viburnums, hydrangeas, heuchères, géraniums vivaces, graminées, fougères , asters, buis en topiaires, clématites, hellébores, bambous, bruyères…… Une mare et sa biodiversité complète cet écrin de verdure. Tout en courbes et rondeurs, les massifs mettent en valeur le graphisme des plantes.
https://jardinsdesaubepines.wordpress.com
JARDIN DU BOIS DE FAY (Le Mesnil-Saint-Denis)
Le jardin du Bois du Fay se situe non loin du skit du Saint-Esprit au Mesnil-Saint-Denis. Classé en 1997, le jardin est régulièrement ouvert au public pour des visites menées par le paysagiste lui-même.
Réalisé il y a environ trente ans, le Jardin botanique du Bois du Fay est la première réalisation en France de ce peintre coloriste. Au cours de votre visite, vous découvrirez une grande pente boisée avec des chênes, châtaigniers et bouleaux sous lesquels vous pourrez admirer les collections de rhododendrons, d’azalées et de camélias. Le Bois du Fay abrite également un singulier et charmant jardin à la Française. Un véritable enchantement s’offre à vous !
Le jardin est composé de plusieurs espaces tels que le jardin blanc, le jardin bleu, la roseraie, les rocailles, les plantes en pot, les plantes tapissantes… Une visite colorée assurément ! Les amoureux des fleurs y trouveront leur bonheur : camélias, cyclamens, jonquilles, pervenches…
http://mesnil.saint.denis.free.fr/boisdufa.htm
JARDINS DE BRETEUIL (Chevreuse)
Le jardin à la française est situé de part et d’autre du château lui-même positionné dans un axe Nord-Sud. C’est à la fin du XIXe siècle qu’il gagne tout son éclat. Henri de Breteuil, le huitième marquis de la famille et grand-père de l’actuel marquis de Breteuil, entreprend entre 1897 et 1903 une ambitieuse campagne de travaux confiée aux paysagistes Henri et Achille Duchêne. Ces derniers établissent de grandes perspectives notamment grâce à l’aménagement d’un bassin appelé miroir d’eau du côté Nord qui domine la vallée de Chevreuse. Ils embellissent les pelouses et les allées, réalisent des jardins de broderies de buis côté Sud, une mosaïque de buis et des topiaires en boule ou en pyramide tronquée côté Nord. Les Duchêne s’inscrivent dans la tradition d’André Le Nôtre, le grand jardinier du château de Versailles. Ce renouveau du style classique s’intègre avec subtilité à la structure existante du site. Le cèdre du Liban planté à l’époque de Marie-Antoinette se fond par exemple parfaitement dans cet ensemble. C’est également le cas du colombier, unique vestige de l’époque médiévale. Il constituait une ressource économique importante car on y récupérait la colombine, un engrais très fertile. Aujourd’hui, dans ce colombier magnifiquement restauré, les visiteurs peuvent découvrir l’exposition «Breteuil à table». Une dizaine de grands tableaux de l’histoire de l’Art présentant des scènes de repas sont transposés en maquettes finement réalisées par Brigitte Duboc.
JARDINS DU CHÂTEAU DE THOIRY (Thoiry)
Dès le XVIe siècle, l’ordonnancement des jardins était conçu dans le souci de valoriser les proportions architecturales du château de l’alchimiste Raoul Moreau. Si les terrasses, agrémentées de parterres finement dessinés et fleuris, donnaient son assise au bâtiment, les grandes allées en patte d’oie mettaient en valeur la transparence des pièces du rez-de-chaussée situées dans l’axe de la course du Soleil. Terrasses et allées centrales serviront de base, 150 ans plus tard, à un renouvellement des formes connu sous le nom de jardin dit à la française. N’ignorant rien des « divines proportions » et des règles du nombre d’Or utilisées par l’architecte Philibert de l’Orme pour le château, Claude Desgot, neveu et associé de Le Nôtre, l’habile paysagiste de Thoiry, s’en inspira pour aménager jardins et perspectives, prolongeant ainsi l’oeuvre de l’architecte. Ce diable d’homme sut même créer une parfaite illusion d’optique. Ainsi, lorsque le promeneur quitte le château pour rejoindre l’allée centrale, il a l’impression que le fond du jardin s’éloigne au fur et à mesure qu’il avance car les arbres furent plantés de manière à inverser les perspectives. Au XIXe siècle, l’engouement du parc à l’anglaise, « plus naturel que la nature » s’impose au détriment des conceptions classiques. Cette mode envahit le parc de Thoiry et seuls le grand axe sud ouest et son parterre à la française échappent à la destruction. Les paysagistes Chatelain puis Varé ont créé de splendides massifs d’azalées, de rhododendrons aux couleurs mauves et roses tendres qui agrémentent alors la promenade. De nouvelles espèces d’arbres, dont 51 séquoias, plantés vers 1852 enfouissent le château sous les frondaisons, obstruant toutes les perspectives sur le vaste paysage alentour. Vers 1970, soucieux de redonner à l’histoire des jardins sa pleine dimension, les propriétaires du château ont restauré l’axe central du jardin à la française, ont dégagé le château pour rétablir la perspective tout en développant, sur le reste du domaine, le parc paysagé à l’anglaise et les collections botaniques, notamment le Jardin d’automne créé par Timothy Vaughan, le labyrinthe créé par Adrien Fisher, une bordure florale par Alain Richert et une longue bordure de pivoines et héménocallis créés par la vicomtesse de la Panouse. D’autres projets de création et restauration sont en cour.
LA GRENOUILLÈRE (Les Essarts le Roi)
Conserver l’aspect sauvage de cette vallée, protéger la faune et la flore, maintenir un équilibre constant permet la bonne intégration du jardin dans ce site protégé. Le jardin est découpé selon les contraintes du terrain. Une zone plus sableuse près de la maison accueille des plantes de terre de bruyère (rhododendrons, azalées japonaises, hydrangeas habillés de bruyères variées). Sur l’emplacement des sources sont modelé trois étangs alimentés depuis les sources et dont le trop plein s’échappe vers l’Yvette. Une partie de jardin tout en courbes subtiles , multiple sa surface par des havres intimes enchâssés dans les massifs de plantes «aquaphiles» (hostas salicaires, gunneras , primulas japonica). Des pontons en bois qui s’avance au ras de l’eau pour mieux le contempler. En franchissant l’Yvette, un petit pont nous entraîne vers un potager très ornemental d’inspiration médiéval. C’est un jardin pieds d’eau, dont une grande surface n’est jamais arrosé, les plantes, arbres et arbustes y puisent l’eau de source nécessaire à leur croissance.
http://www.jardin-lagrenouillere.fr
LE JARDIN DES ASTERS (Poigny la Forêt)
Derrière les murs d’ocre rose se dissimule un jardin crée en 1985. Ses 2500m² s’organisent autour d’un plan d’eau central, entouré de plantes de lieux humides. Le tapis vert de la pelouse à l’anglaise conduit le visiteur à un sentier de graviers bordé de plantes de terrain sec et d’arbustes rares. Puis, c’est la grande plate-bande où sont rassemblées des vivaces à la floraison échelonnée, symphonie de couleurs toujours changeantes, et dont l’apogée de fin septembre et début octobre est due à la collection unique d’asters qui clôt l’année du jardin. Poigny mérite bien le surnom de « Petite Sibérie » ; les gelées y sont plus fortes, plus précoces et plus tardives qu’à cinq kilomètres à la ronde ! Certaines plantes à floraison très hâtive ne fleurissent jamais à Poigny. La première partie du jardin est dans l’esprit des jardins anglais : beaucoup de vivaces, d’arbustes, dessin irrégulier, gazon soigné, engrais cinq fois par an, arrosage automatique, scarification, etc. La deuxième partie est dans un tout autre esprit pour avoir moins de contrainte d’entretien : allée de gravier mignonnette, beaucoup d’arbustes, peu de vivaces sauf autour de la mare où sont regroupées les plantes aimant l’humidité : hostas, darmeras peltatum, astilbes, iris sibérica, arums. Dans cette partie du jardin, le paillis de feuilles évite la levée des adventices et économise l’eau. Elle ne bénéficie pas de l’arrosage automatique ; les plantes doivent s’adapter ! Seul un tuyau perforé en cas de canicule permet un apport d’eau exceptionnel. Les plantations sont faites en fonction du terrain siliceux et acide, pauvre en matière organique et desséchant très rapidement. Les viburnums et les hydrangeas paniculata se plaisent à Poigny ; leurs inflorescences se produisant sur le bois de l’année, elle ne sont pas touchées par le gel. Vous trouverez dans le jardin quelques arbres intéressants, un parrotia persica, deux ginkgos biloba, un tilleul chinois, un autre japonais, un koelreuteria paniculata, un nissa sylvatica. La plate-bande de vivaces est composée pour présenter un intérêt durant toute la belle saison. Elle est à son apogée fin septembre-début octobre avec la quarantaine de variétés d’asters qui la compose.
Le Jardin du Vieux Pommier (Méré)
Ce jardin étroit, tout en longueur dans sa première partie, nous mène vers un pommier d’une soixantaine d’années. Là, le jardin s’élargit et des sentiers engazonnés conduisent vers les différentes parties séparées par des arbres et des arbustes, un petit bassin et un potager. La terre est légère, puisque c’est du sable, il faut l’amender et les végétaux doivent s’adapter à la sécheresse. Des rosiers, toutes sortes de vivaces, asters, et graminées s’associent aux couleurs des feuillages tout au long des saisons, particulièrement à l’automne.
http://www.jardinduvieuxpommier.info/
LES JARDINS DE SONJA (Le Perray en Yvelines)
Jardin à scènes et ambiances multiples avec une collection de 2500 végétaux différents qui assurent un décor pendant les quatres saisons (collection notamment de rosiers anciens, clématites, viburnums, rhododendrons, érables). Lors du parcours le promeneur découvrira un jardin asiatique avec ses lanternes et sa pagode, des ambiances d’eau sous facettes variées, le jardin des quatre éléments et son cadran solaire analemmatique, le jardin de graminée et son décor minéral, le jardin de roses avec ses pergolas, treillages et gloriettes, l’observatoire qui permet d’apprécier le jardin en étant perché en hauteur, le jardin médiéval avec son jardin d’aromates et ses broderies de buis, la paillote, etc. etc.…
PARC DU CHÂTEAU DE GROUSSAY (Montfort l’Amaury)
Inspiré par les parcs du XVIIIème siècle, les jardins anglo-chinois, mais aussi les châteaux suédois, Charles de Beistegui a multiplié les « folies » à Groussay dans les années 1950/70, modifiant le terrain, creusant des lacs et des canaux, édifiant des « fabriques », il a imaginé et réalisé en vingt ans, une oeuvre aussi originale que la décoration intérieure du château. Se succédant tout au long de la promenade une tente tartare, un temple du labyrinthe, un théâtre de verdure, un pont palladien, une pyramide, un temple d’amour, une pagode chinoise et une colonne observatoire. La découverte du magnifique petit théâtre inauguré en 1957 par la Comédie Française achève la visite du parc et du château de Groussay.
http://www.chateaudegroussay.com/
PARC ET JARDIN DES BRONZES – DOMAINE DE COUBERTIN (Saint Remy-les-Chevreuse)
Le Jardin des Bronzes : En contrebas du château de Coubertin, dans un ancien verger, a été aménagé un remarquable Jardin des Bronzes. Un étroit chemin d’eau, reliant trois bassins, en occupe l’axe tandis que de petits escaliers donnent l’accès à des terrasses qui se suivent, profitant de la déclivité du terrain. L’architecte Robert Auzelle, à la demande de Jean Bernard, a créé là une merveilleuse salle d’exposition en plein air où la sculpture est mise en valeur. Les travaux de terrassement et de gros-œuvre ont duré de 1979 à 1982. Ce jardin recevra peu à peu sa parure définitive, un ensemble de grands bronzes illustrant la sculpture en France, de la fin du XIXème siècle à nos jours. Des œuvres d’André Abbal, Joseph Bernard, Antoine Bourdelle, René Collamarini, Jean Carton, Appel.les Fenosa, Robert Wlérick y sont en permanence. Étienne Hadju, mort en 1996, y est représenté par Eléonore (bronze) et Fabulation (bas-relief de plomb, pièce unique). Le jardin communique par un escalier monumental avec la pelouse qui s’étend derrière le château. Un exemplaire d’Urano de Pablo Gargallo est installé sur le petit palier de cet escalier et domine ainsi la bouche d’eau qui alimente les bassins. Le parc du château : La promenade dans les allées du parc est scandée de grandes sculptures. Dans l’allée d’honneur, balisée d’ifs et de buis taillés, se succèdent Fenosa, Karel, Dominique Labauvie, Marta Pan et Jean Cardot. Devant le château, deux bronzes monumentaux de Bourdelle, réalisés par la Fonderie de Coubertin : Cheval du monument du général Alvear et L’Epopée polonaise. Derrière le château, s’étend le parc à l’anglaise (1863) avec sa vaste pelouse. Dans cet espace ouvert sont disposées actuellement des œuvres de Marta Pan, dont les Trois Disques fendus qu’elle a donnés à la fondation. Sur la terrasse dominant le Jardin des Bronzes se voient les trois bronzes d’Etienne-Martin, Personnage III. Plus loin, un acier corten de Pierre Tual, Adret (dépôt du FRAC) est installé dans la perspective de la glacière du XVIIIème siècle.
http://www.coubertin.fr/501_p_25757/le-jardin-des-bronzes.html
Quel choix! Je ferais également une petite excursion au jardin chinois Yili à St Rémy l’Honoré qui contient également un laboratoire de bonzais, ouvert que le week-end. Tous ces jardins sont-ils facilement visitables, certains sont-ils en accès libre?
Je ne le connais pas , je vais le rajouter :), pour le restes tu peux trouver toutes les infos sur leur site web.